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Les Transcriptions

1972 - 1978-


1. - Historique

2. - Principe d'accrochage

3. - Transcriptions r�alis�es

Comme tout artiste peintre, je m'impose ces s�ances de peinture quotidiennes dans mon atelier. A ceci pr�s que le petit outillage traditionnel et la mati�re premi�re sont remplac�s par un puzzle, achet� dans le commerce, reproduisant une peinture c�l�bre ; seul moyen pour moi de ne pas abandonner la peinture. Beaucoup ressentiront de la commis�ration pour ce labeur arride et h�b�tant que je m�impose, qu�ils se d�trompent ��la r�alisation d�un puzzle, est en tout point identique � la peinture traditionnelle, tant par les probl�matiques de forme, couleurs, cadre, que par sa dur�e, pi�ce apr�s pi�ce, touche apr�s touche (que de temps pass� � trouver la touche juste, la couleur ou l��l�ment qui va l�, rien que l�), sinon que le travail � partir de la peinture des autres artistes est plus direct, et que le puzzle d�barrasse de tout ce qui encombre et disperse comme la vanit� de cr�ation, et nous invite � la patience. L�effet de craquelure saisissant, attire le visiteur tel un papillon vers un bec auer, pour qu�il s�y br�le, le renvoyant ensuite � lui-m�me mieux qu�aucune peinture conventionnelle, de plus ces Transcriptions permettent � tout conservateur de poss�der l��uvre manquante dans sa collection. Craquelures modernes de la production, peinture modeste, le puzzle questionne le temps, et s'y employer sans mod�ration �vite de s'adonner aux vanit�s de ce monde. cependant cette peinture minutieuse, sans odeur, qui pr�pare � la perfection, et pr�sume de l�admission post-mortem au nombre des �lus, ne rend pas son praticien en odeur de saintet� aupr�s de ses contemporains.1998, premi�res Transcriptions en volume : �Le Baiser� de Rodin, la �V�nus de Milo�, etc.

Sommaire de l'�uvre